Vie et Héritage de Serigne Mansour Sy - Borom Daradji (RTA)
Bienvenue dans l'exploration fascinante de la vie et de l'héritage de Serigne Mansour Sy, surnommé affectueusement Borom Daradji. Cette page vous invite à plonger au cœur de la sagesse infinie d'un homme de Dieu dont la lumière continue de guider et d'inspirer des générations entières.
Biographie Éclairante
APERÇUS SUR LA VIE DE SERIGNE MANSOUR SY (1925/2012)
Né le 15/08/1925 à Tiwaoune, capitale de la science et de la culture islamique, Serigne Mansour SY est le fils de Serigne Ababacar SY et Sokhna Aicha SECK. Son arbre généalogique remonte jusqu’à Cheikh Yahya qalqmi. Serigne Mansour est le fils de Serigne Alhaji Malick SY (RYA), le porteur de l’étendard de la confrérie tidiane dans l’Afrique occidentale. Serigne Alhaji Malick SY, fils de Ousmane, fils de Mou’az, fils de Mouhamed, fils de Aly, petit-fils de Youssouf de Djolof, est le petit-fils de Yahya qalqami. Que la bénédiction d’Allah soit sur eux. Cette famille est notamment réputée pour leurs qualités morales et imprégnation dans la science. Serigne Ababacar SY fut une montagne de savoir et un grand ascète dont la personnalité dégageait les symptômes de la chasteté, de la dévotion et de la droiture. En homme de Dieu, il passait la journée, comme la nuit, à l’adoration de Dieu, à l’invocation, à la récitation du Coran ainsi qu’à la glorification. Très attaché à la Sunna et au Coran, il défendait avec conscience la Charia (loi islamique) et la Tidianiya. Quant à sa mère, Sokhna Aissatou SECK, est la fille de Sokhna Bintou Demba SECK, fille de Serigne Dodj SECK, fils de Wasour un des grands fondateurs de la ville Mbaw. Leboue de souche, cette dame vaillante était d’une grande dévotion ; connue pour sa piété et sa générosité.
La mère de Serigne Mansour Sy
Sokhna Astou Seck, mère de Serigne Mansour Sy Borom Daara-Yi, noble épouse de Serigne Babacar Sy. Sokhna Astou Seck est la fille de Demba Seck Thiané Ndoye Mou Fatoumata Yambou Ndoye, fils de Goorgui Massamba Ndoye Mou Fande Ngoné Sall Mou Mame Coumba Ndoye, mère de Mame Limamoulaye. Elle appartient à la grande famille léboue du Cap Vert, dont les descendants sont répartis entre Rufisque, Bargni, et Mbao.
Elle était une femme pleine d'abnégation, obéissant scrupuleusement à Serigne Babacar Sy et sachant préserver les secrets familiaux. Une véritable légende, Sokhna Astou Seck était réputée pour son extrême générosité, surnommée "mère des pauvres" en raison de sa bienveillance envers eux.
Elle jouait un rôle essentiel au sein de la famille de Serigne Babacar, étant une mère dévouée à la tâche. La maison n'a jamais désempli, et elle assumait cette charge avec conscience, une mission à laquelle elle s'est investie corps et âme.
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Sokhna Astou Seck était l'objet d'un grand respect dans la communauté tidiane en raison de son statut élevé en tant qu'épouse du Calife. Elle faisait preuve d'une adoration profonde, la sincérité de son cœur et son dévouement guidant sa vie de femme..
Elle fut une figure emblématique dans la trajectoire de la famille de Serigne Babacar Sy, représentant cette flamme légitime qui a illuminé la lanterne de la famille de Cheikhal Khalifa..
.Sa générosité incommensurable s'inscrit parmi un long chapelet d'œuvres de bienfaisance. Elle était une fédératrice, éducatrice, régulatrice, humble et courtoise. Son petit sourire franc était toujours présent, son langage soutenant un verbe probant, confortant ainsi son statut de régulatrice.
L'ANCÊTRE DES SECK SECK BIRAME MBOSSÈ. SECK WASSOUR
Mame N’Daubeute seck s’installa à Tonghor de Bargny et M’Bao SECK s’arrêta à M’Bao de Thiourome ; les descendants de ce dernier fondèrent le village actuel de M’Bao . Il vivait à Thiouroume, un village, aujourd'hui disparu, qui se situait près de l'actuel centre émetteur de Rufisque. Mbao était le père de mour Seck et Macoumba Mack Seck. Ces derniers se sont, par la suite, établis à Abgal chez leur oncle Ndiagne Ndoye à Kounoune autre village disparu, qui se situait un peu plus à l'ouest près du village actuel de Keur Massar. Macoumba Mack Seck aurait, le premier a quitté ' Abgal pour s'installer à quatre kilomètres environ au sud,Le plus âgé des deux Makumba Sèck se convertit à l’Islam ; non que les Lebou n'aient pas déjà été touchés par la loi musulmane, mais ils l'observaient de façon tiède ; cela amène la séparation des deux frères. Suivi d'une partie du village, Makumba Ndao (le jeune) fait sécession, et vient s'établir au bord même de la mer, entre les emplacements actuels de Grand et de Petit-Mbao (site 4). Ceci se place après 1857, date de l'installation des Français dans la presqu'île ; à ce moment, Mbao était encore à l'intérieur. Les traces de ce village sont encore visibles : fonds de case, nombreux tessons de poteries, restes d'un cimetière aux trois quarts envahi par les buissons. Après la mort de Makumba mak, le nouveau village plus proche de la mer devint un centre d'attraction. Nouvelle réunion en un seul village, qui se fait d'ailleurs progressivement : les Ndoye mirent moins d'empressement que les Seck à se convertir complètement à l'Islam, peut-être parce que propriétaires des palmeraies.Ndiagne ndoye résidait à Kounoune. Son fils Alassane, comme Demba Coumba, passa toute leur existence en parfaite symbiose avec leurs oncles et cousins ,Seck birame mbossè , étant donné qu'à l'époque on avait l' habitude de placer les neveux chez les oncles pour y être éduqués. La parenté Ndoye-Seck existe bien a mbao et ailleur
Macoumba Ndao Seck, son neveu et homonyme (le fils de mour Seck), va transférer le village à mille mètres plus au sud, précisément sur le coude du marigot. Ce nouveau site était appelé Ndéguett. Plus tard, un fils de Macoumba Ndao, Wassour, renoue avec la tradition migratoire de la famille. Il s'installe de l'autre côté du marigot, mais à l'est. Selon l'histoire orale Wassour seck avait d'abord mis hors d'état de nuire un éléphant mastodonte qui s' attaquait indistinctement aux hommes et aux bestiaux et détruisait toutes les cultures dans la presqu'île. Ce monstre que personne n'osait braver, défia l'elephant et le tua délivrant ainsi ses congénères grace à Wassour Seck par ces connaissances mystiques, Ces traditions affirment que Wassour était auparavant un imam et un érudit en islam. Pour rompre avec les pratiques prohibées par la loi
islamique qu' il continuait d'observer dans le village et ses alentours, il décida de fonder un nouveau village à l'est, pour être seul (avec sa famille) face à la qibla La Mecque. Après quoi, il dénomma Mbao ce nouveau lieu pour perpétuer ainsi la mémoire de son
aïeul. Cet épisode eut lieu probablement durant la première moitié du XVIW siècle. Ce même XVIIIe siècle vit le village se déplacer à nouveau, mais cette fois si. vers l'océan
Atlantique situé à quelques encablures, à la suite de l' épidémie de fièvre jaune qui s'abattit sur la presqu ' île en 1794 .Wassour fait ériger un cimetière Mour Seck est présenté par la tradition comme le fondateur de Santhie-bi, l'ancienne appellation du village de Petit-Mbao. Après leur réconciliation, Mbao reviendra un seul.tous les ancêtres secks de la presqu'ile du cap vert sont originaires de mbao De par sa mère Sokhna Astou Seck, fille de fatoumata yamba ndoye et petite fille de mame samba ndoye Serigne Mansour Sy est issu des grandes familles Lébous de la Presqu'île du Cap-Vert sohkna astou seck est la fille de fatoumata yamba ndoye et petite fille de mame samba ndoye , serigne mansour est doublé d'un dignitaire Lébou qu'il a hérité de sa mère.
serigne mansour rta est aussi un oncle à seydi alasanne lahi thiaw De même père sokhna astou seck est la soeur de sohkna fall seck mère de sohkna fatou laye diop mère du 4eme khalif des layennes seydi alasanne lahi thiaw dit(mame rane ) rta.
Les seck birame mbosse a majorite d'origine de famille maraboutique sont originaires du village de tiekène qui fut fondée par l'ancêtre des kebe d'apres les sources orale les seck wassour et seck birame mbosse ont tous deux des ancêtres peulh et Moor car les ancêtres de Hali aïdara sont originaire de l'arabie et du gannar il est le père de Fodayga Hali Seck qui avait deux épouses Sa-kene Bah et Yasin Gaye Loum . Yasin Gaye Loum avait une fille appelée Ndumbeh Seck qui avait alors un fils appelé Makhtar Ndumbe diop de Koki, et ces mêmes ancêtres moor sont également des ancêtres de cheihk ahmadou bamba khadim rassoul. il y a aussi une branche des seck wassour qui s'est installée plutard en Gambie .
ZONE DE TANKA YOFF NGOR WAKAM
branche mame khël seck mame mahktar seck. A yoff Mame Saarot SECK Cette dernière habitait à Ndeugagne avec ses frères et leurs épouses. C'est à la suite d'un malentendu avec eux qu'elle décida de les quitter. Elle fit ses bagages et arrivée au niveau de cette place inhabitée, s'y implanta et le nomma Dagoudane (c'est à dire le Quartier de la Reine de Beauté)en 1702 elle a été secondée par Malick NDIR pour la protéger puis Saadou GNINGUE un guerrier , puis Bawaré THIOM, un savant venu de Yarakh et enfin Amadou MBAYE, en 1702.
-Mame Omar ngala seck issue de la lignee des khaganes fut le sizieme ndey ji rew de yoff.
BAYE DAOUDA SECK MAME FATOU SECK grande prêtresse guerisseuses Traditionnel de teungedj thiawlene gardienne du temple de mame kumba lamba ndoye genie de l'eau.
MAME TABARA SECK & GANE MBENGUE
de cette union est nee tafsir ibrahima mbengue il étudia à yoff auprès de tafsir ndiaga gueye. L'un des premieres adept de seydina limamou lahi .
ZONE DE BARGNY:
ndiarè seck l'ancêtre de blaise diagne originaire de bargny gouye dioulancar infecte par une plaie d'atroce l'amena à gorée pour se faire soigner par la suite épousa son medecin Antoine preira de cette mariage naquit Niania preira la mêre de blaise diagne gallaye mbaye diagne .
A SUIVRE gueye, diagne ,diop, ndir, mbaye thiaw, ndiaye, diene ,samba, diona paye sarr cisse diouf etc
Épanouissement Spirituel et Intellectuel de Borom Daradji (RTA)
Découvrez l'épanouissement spirituel et intellectuel de Borom Daradji (RTA) en une phrase : une quête incessante de savoir et de sagesse qui illumine son parcours et inspire les générations.
La formation personnelle et intellectuelle Borom Daradji (RTA)
Ayant atteint à l'âge d'aller à l'école, Serigne Mansour a appris le Coran à l'école de Serigne Mama LO avant d'entreprendre l'apprentissage des sciences religieuses et de la langue arabe. Il a fait le tour de plusieurs Majalis où il a appris différents livres lui assurant sa carrure intellectuelle et spirituelle.
Sa place scientifique et son métier d'éducateur et d'enseignant
Serigne Mansour, fut un savant de la trempe. Une source somptueuse de sagesse, un trésor de science et un dépôt des secrets de Dieu. Il passa la plus grande partie de sa vie à enseigner les différentes disciplines islamiques et à former des générations de modèle. Il leur enseignait toutes valeurs dignes d’un bon musulman mais surtout les incitait à aimer les savants, les
vertueux et les sciences. Pédagogue, il avait un style particulier. En effet, avant d’aller donner de cours, il prenait soigneusement soin de son apparence. Il mettait de beaux vêtements et s’arrosait un bon parfum. Comprenant les différents niveaux d’intelligence de ses disciples, il donnait, à chacun d’eux, la leçon qui convenait à sa compréhension. Autrement dit, il suivait strictement l’exemple du prophète (paix et salut sur lui) dans l’enseignement et l’éducation. Cet engouement et cette détermination qu’il eut pour cette besogne lui valurent une grande réussite. Un grand nombre de savants et intellectuels très performants sont sortis de son école.
A l’image de de Serigne Alhadji Malick, Serigne Mansour, a érigé plusieurs Daaras (écoles coraniques) et mosquées dans différents villes et villages du pays dans le but de promouvoir l’enseignement islamique. C’est le cas de la grande mosquée de Tiwaoune, des Almadies, de Golf-Nour à Dakar, de Ndiarde, et tant d’autres connues dans le pays. Ce qui révèle nettement que le marabout eut une vision panoramique de l’éducation qui, pour lui, signifie toute activité pouvant faciliter la conformité de l’homme aux recommandations de Dieu. Il croyait fermement qu’autant que l’homme devrait adorer Allah autant qu’il devrait construire sa vie terrestre ; conformément aux versets : « Je n’ai créé les djiinnes et les hommes que pour qu’ils M’adorent». Dans une autre sourate : «De la terre, Il vous a créé, et Il vous l’a fait peupler (et exploiter).» Cela explique l’intérêt qu’il accordait aussi à la construction de mosquées que d’écoles coraniques. Ainsi s’intéressait-il beaucoup aux dimensions socioculturelles du pays telles que l’agriculture et la croissance économique. Autant dire, il illustrait parfaitement bien la complémentarité de la vie d’ici-bas et de celle de l’au-delà dont Allah dit : «Et recherche à travers ce qu’Allah t’a donné, la Demeure dernière. Et n’oublie pas ta part en cette vie. Et sois bienfaisant comme Allah a été bienfaisant avec toi. Et ne recherche pas la corruption sur terre. Car Allah n’aime point les corrupteurs.» Partout dans le pays, il eut des champs de grands hectares où il pratiquait l’agriculture. Mboro, Diamagueune, Manko, Poute, Keur Massar en sont des exemples. Toute sa vie ne se limita pas à cela. Par contre, Serigne Mansour eut été la bouche des pauvres auxquels il apportait, avec beaucoup d’affection, un soutien soutenable. Il subvînt à leurs besoin et même les envoya à la Mecque en temps de Pèlerinage. Tout au long de leur voyage, il les prit en charge financièrement. En 2000, par exemple, il eut envoyé à la Mecque environs 100 personnes.